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Un arbre de Noël, ce n’est pas un meuble. Mais pendant la période des Fêtes, je me laisse emporter. Emportée par l’odeur du sapin de Fraser dans mon salon, je le suis. Et nous sommes coupables: nous avons tué un arbre… en fait nous avons fait l’achat d’un arbre déjà coupé, mort, pour un peu de feuillage dans notre salon. La tradition le veut. On s’est juré que c’était la dernière fois. Promis, juré, craché. J’ai tué un arbre parce que c’est le premier Noël dans mon nouveau chez moi, parce que c’est le premier Noël de ma petite fille. Je me donne plein de raisons pour justifier le crime ultime. Le dernier.

L’arbre de Noël en chair et en bois VS en plastique : une vieille préoccupation. Les vrais sentent bons, mais perdent leurs épines; ils sont magnifiques mais demandent beaucoup d’attention; et renouvelable ou non, on coupe un arbre complet pour deux semaines de décorations. C’est un gaspillage de luxe (même si plusieurs municipalités recyclent maintenant vos arbres).

Le faux arbre de Noël est réutilisable, au grand plaisir des Noël à venir. Mais qu’advient-il de l’arbre une fois qu’on décide de s’en départir? On l’envoie au dépotoir, pour une décomposition éventuelle (plusieurs quintimilliards d’années, me dit-on, une donnée scientifique). C’est ainsi que les merveilleuses personnes de Cascades ont créé le parfait arbre de Noël (mon humble opinion) : fait en carton 100 % recyclé, ce petit bijou, disponible en 3 grandeurs, est la réponse pour l’écoresponsable d’aujourd’hui. Il se range à plat, il peut être peint, ou décoré, et durera plusieurs années. Je sais ce que je veux l’an prochain. Merci Cascades !

Et un joyeux temps des Fêtes. Soyez prudents!